Vilmorin / Malraux : Une Amitié Amoureuse


LdeV_AM

 ON EN PARLE

Louis de Vilmorin et André Malraux

Cliquez pour agrandir l’affiche

Louise de Vilmorin et André Malraux

Cliquez pour agrandir

   

PROGRAMME

 

Francis Poulenc: Mouvements Perpétuels
Françoise Wagener : Les parents de Vilmorin
Louise de Vilmorin : J’ai la toux dans mon jeu
Reynaldo Hahn : Valse
Louise de Vilmorin : La Maison des Enfants
Germaine Tailleferre : Romance
Darius Milhaud : Sorocaba (Saudades do  Brazil)
Sophie Doudet: Portrait de Malraux
Francis Poulenc: Valse
Françoise Wagener : La rencontre
André Malraux : Lettre à Mme Leigh-Hunt 1933
Louise de Vilmorin : Sainte-Unefois (Le Fiancé Espagnol)
Jean-Michel Damase : La Belle aux cheveux d’or (Fééries)
Georges Auric : Romance et Valse
André Malraux : La Condition Humaine (Tchen et Gisors)


André Malraux : La Condition Humaine (La grande couturière)
Beethoven : Largo e  mesto de la Sonate op.10 n°3
Louise de Vilmorin : Sainte-Unefois (…je mourrai refusée)
Henri Sauguet : Espièglerie
Louise de Vilmorin : Tu m’as toujours un peu menti
Francis Poulenc : Pastourelle
Louise de Vilmorin : Je ne demande au ciel
Mozart : Andante de la Sonate n°5  K.283 en sol majeur
Louise de Vilmorin : Mon cadavre est doux comme un gant
Chopin : Prélude n° 4
André Malraux : Lettre à Maurice Druon

 

 

 

TEMOIGNAGES

Professeur et Madame Vincent Di Marino
Cher Edouard,
Un immense merci pour ta magnifique prestation aixoise au titre si bien choisi: « Louise de Vilmorin et André Malraux; une amitié amoureuse ».
Tu nous a charmés pendant près de 2 heures en nous plongeant dans l’intimité de ces 2 êtres d’exception qu’en dépit des vicissitudes de la vie, l’estime réciproque exceptionnelle, l’intelligence raffinée et le profond amour ont fini par rapprocher jusqu’à une osmose finale, particulièrement émouvante.
Tes textes, fruits de recherches très poussées et tes intermèdes musicaux si bien rendus par un piano joué, comme toujours, avec brio et passion, ont été très appréciés
par un riche auditoire de qualité, au point que personne n’a vu le temps passer.
Bravo
Betty et Vincent Di Marino

*****

Philipppe Mossé
Monsieur,
Bonjour,
Ayant eu la chance de vous écouter dans votre concert-lecture de mercredi soir, je voulais d’abord vous féliciter pour l’émotion que vous avez su communiquer à une salle conquise ; vous féliciter, et aussi vous remercier pour votre humour et votre superbe culture littéraire et musicale ! Au point d’oser vous demander s’il est possible d’obtenir votre texte (citations comprises !). Bien sûr, si ce magnifique texte est en voie d’impression (ce qui serait la moindre des choses), je patienterais ; mais s’il est d’ores et déjà disponible, je serai ravi que vous m’indiquiez la marche à suivre pour y accéder.
Bien cordialement,
Philippe Mossé

*****

Christiane Robin
Cher Edouard,

Je n’ai pas eu le temps de vous écrire ces deux derniers jours mais je tenais à vous dire que nous avons passé une super soirée, Carole et moi ainsi qu’une de nos voisines (qui m’a demandé quel avait été votre professeur de théâtre. Puisque je le savais depuis la veille, j’ai pu lui répondre : aucun) !
Et puis de toutes les épitaphes célèbres, ma préférée est maintenant « Au secours ».
J’ai eu grand plaisir à vous revoir sur scène.
A bientôt Edouard, je vous embrasse
Christiane

 *****

Jacques Bonnadier
Merci, cher Edouard, tu nous as passionnés, durant 108 minutes, et très souvent émus. On va se coucher paisibles et enrichis !…

 *****